À la fois acteur, en me mettant en scène dans mes rapports amoureux, j’en suis aussi le spectateur, en ayant le regard de mon propre marionnettiste, attendri par les turbulences du désir
Je peins des hommes souvent ridicules, abandonnés à leurs pulsions, comme s’ils en étaient des victimes inconscientes, face à des madones sublimes, inaccessibles, esquissant un léger sourire plein d’indulgence
Je ne peins pas l’acte, mais plutôt ce qui se passe dans l’escalier